• III - Les moyens de lutter contre l'addiction et la cocaïne

     III - Les moyens de lutter contre l'addiction et la cocaïne

     A - Une lutte légale

    Les drogues sont caractérisées par des tendances mais reste un problème contemporain. Bien que le trafic, la production et la consommation reste des motifs de préoccupations. Néanmoins le régime des drogues international de contrôle des drogues a permis de conserver la consommation en dessous du niveau déclare de substances psychoactives licites. L’usage de drogues représente 0,9% du total de la perte mondiale d’années de vie. Ce régime international ralenti l’usage de la consommation en particulier chez les adultes, qui sont moins encouragé a enfreindre les lois interdisant cet usage.

    Bien que les caractéristiques globales n’ont pas évolué, les modes de transport, consommation et de production quand a elle sont énormément changé. Le marché de la cocaïne a l‘échelle mondiale a beaucoup augmenté depuis la fin du XIX ème siècle toutefois, la quantité de cocaïne semble avoir diminué pour la consommation comme en Amérique du Nord mais cette diminution a été au contraire de l’Europe et de l’Amérique du Sud.

    Mais malgré la diminution en Amérique du Nord, elle reste dans certaines régions très présentent en 2010 avec un taux de prévalence de 1,6%. En Europe Occidentale et centrale, elle est de 1,3% et l’Océanie est de 1,5 a 1,9%.

    QUE DIT LA LOI CONTRE LES DROGUES ILLICITES COMME LA COCAÏNE ?

    Tout d’abord une loi est un protocole de conduite qui s’applique a tous, et délimite nos devoirs et droits.

    Chaque pays à sa législation sur la cocaïne

    III - Les moyens de lutter contre l'addiction et la cocaïne

    # Légale (détention de moins d'un demi-gramme)

    # Légale (utilisation médicale)

    # Décriminalisée

    # Illégale

    # Données non disponibles

    Par exemple :

      • en Arabie saoudite ; l’usage et la possession sont passibles de la peine de mort.

      • en République tchèque la possession de un gramme est autorisée.

      • en Colombie, la possession de un gramme de cocaïne personnel est autorisée mais la vente reste illégale.

    En France : La consommation dans n’importe quelle endroit comme dans un bar, chez des amies ou même chez soi est interdit. Déplus elle ne distingue pas les drogues dure et douces pour les peines

    III - Les moyens de lutter contre l'addiction et la cocaïne

    Donc la cocaïne n’est pas légale. Par exemple au Canada la possession de cocaïne est une grave infraction criminelle. Si la personne a une petite quantité de cocaïne pour sa propre consommation alors elle risque jusqu'à 2000 € d’amende ou 7 ans de prison. Si la personnes possède de la drogue pour une vente ou elle rapporte de la cocaïne d’un autre pays, elle risque l’emprisonnement a vie. En 2004, on a saisi environ 3 416 kg de cocaïne sur le territoire canadien ou en route vers le Canada. C’est l’équivalent du poids d’un éléphant adulte.

    Se met en place une journée internationale contre l’abus et le trafic des drogues, le 26 juin. D’ailleurs le secrétariat de l’ONU (L’Organisation internationale des Nations Unies qui a été fondée en 1945) en parle «  les pays qui sortent d’un conflit ou d’une crise économique peuvent être débordés lorsqu’ils sont inondés de drogues illicites venues de l’étranger »

    EN FRANCE

    La dépendance à la cocaïne est un phénomène qui s’étend en France depuis la fin des années 90.

    Le plan stups en chiffres

    En 2009, ont été relevés :

    • 2 712  interpellations (dont 23 trafiquants d’ecstasy)

    • 792  gardes à vue pour trafic

    • 609  défèrements pour trafic

    Saisies :

    • 5,381 tonnes  de cannabis

    • 113,811 kg  de cocaïne

    • 17,609 kg  d’héroïne

    • 28 044  cachets d’ecstasy

    • 1 361 108  euros en numéraires

    Prévention :

    • 26 994  élèves et professionnels sensibilisés aux dangers de la drogue.

    La France ne perçoit pas la drogue comme un problème de santé publique ou de toxicomanie mais un problème du trafique international. Avant 1960, plusieurs lois ont été créé mais elles seront modifiés le 30 décembre 1970 en créant « une liste des stupéfiants » qui touche l’opium, morphine, héroïne, méthadone, cocaïne. Déplus elle sera importé en France en 1750 par JUSSIEU

    Que nous arrive t-il si on se fait arrêté ?

    Les juges prennent en comptes plusieurs éléments.

    Tout d’abord le passé de la personne, si elle est habitué a ce retrouver dans ces trafics, la sanctions sera plus « sévère » mémé si les personnes possédants un casier vierge ne sont pas a l’abri d’une sanction. Sa peine minimale sera d’environ de 4 ans.

    Puis l’endroit ou s’est passé l’arrestation joue un rôle. Car si la personne a été arrêtée pas loin d’un établissement scolaire, elle risque plus de 75000 € et 10 ans de prison mais si elle est arrêté alors qu’elle revient d’un pays étranger l’amende se révèle être la même que vue précédemment voire même pire 30 ans de prison, si le trafic a été organisé en bande /groupe.

    Mais , on peut remarquer que le Portugal est l’un des pays d’Europe ayant le moins de drogué car il y a 10 ans, ce pays instaure une nouvelle forme c’est a dire que l’usage personnel

    LE CONSOMMATEUR DE DROGUE N’EST PLUS UN CRIMINEL MAIS UN MALADE.

    Une loi qui protège les mineurs ?

    Selon l’article 222-39 du code pénal, si le dealer offre des stupéfiants a des mineurs pour leur consommation personnelle est puni de 10 ans. Tout personne qui encourage un mineur de consommer des drogues est punie de 5 ans de prison et de 100 000€ d’amendes. Mais si le mineur a moins de 15 ans, la peine augmentera à 7 ans de prison et 150 000€ selon l’article 227-18 du code pénal. Pour finir selon l’article 227-19 du code pénal, toute incitation directe d’un mineur à commettre un acte de trafic est punie de 150 000€ et de 7 ans de prisons, mais si celui ci a moins de 15 ans, la peine sera de 10 ans avec 300 000€ d’amende

    Hors mis les dealers, les parents peuvent aussi être poursuivi par la justice car les parents sont responsables de l’éducation, de la santé et du bien être de l’enfant mineur d’après la loi. Ils peuvent être puni de 2 ans de prison et de 30 000€ d’amende (article 227-17 du code pénal). Si la santé de l’enfant est compromise, l’autorité parentale peut être retirée (article 378-1 du code civil)Néanmoins, les juges évaluent toujours en premier lieu l’intérêt de l’enfant. Les parents qui ont connaissance d’un usage ou d’un trafic de stupéfiants de la part de leur enfant ne seront pas poursuivis s’ils ne le dénoncent pas. Cependant, aux yeux de la loi, les parents deviennent complices d’un trafic de stupéfiants s’ils bénéficient en connaissance de cause des produits de ce trafic (cadeaux, argent, etc.), s’ils le facilitent par quelque moyen que ce soit ou s’ils aident au recyclage de l’argent obtenu par ce trafic. La mise en œuvre de ces sanctions est toujours décidée en prenant compte de l’intérêt de l’enfant.

    B - La lutte personnelle

     Quand l’addiction devient critique, le consommateur peut présenter des crises de panique et aller jusqu'au délire de la paranoïa.

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